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LA MÉMOIRE CELLULAIRE

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La mémoire cellulaire est issue de la recherche spirituelle de Mère et de Sri Aurobindo qui travaillaient à faire descendre l’esprit dans la matière. Myriam Brousse a pris le relais. Elle a créé une méthode, en s’appuyant sur l’enseignement spirituel donné par les deux fondateurs, il s’agit d’aller chercher au plus profond du corps dans ses cellules, les mémoires qui l’empêchent d’évoluer, de les voir de les accepter et de les transformer. Ce faisant nous ne subissons plus notre vie mais nous en devenons responsable. Et cela donne à l’être une plus grande liberté pour agir.

En mémoire cellulaire, on considère qu’un petit caillou, un engramme, présent dés la conception nous empêche d’évoluer. Et c’est en reconnaissant ce petit caillou, en l’acceptant que nous trouvons à l’intérieur de lui, et donc de nous, les ressources pour évoluer. Lors du « Projet-sens » définie par un espace qui s’étend de neuf mois avant notre conception jusqu’aux neuf mois après notre naissance, nous engrammons tous les événements traumatisants que vivent nos parents durant cette période.

Le fœtus dans le ventre de sa mère n’a pas accès à son cerveau, il ne fait qu’éprouver et il gardera toute sa vie durant, le souvenir de cet éprouvé qui se manifestera en nous, si l’événement a été traumatisant, par des situations similaires qui vont se représenter à nous, tout le long de notre vie. Il s’agit de repérer ces schémas répétitifs qui jalonnent notre vie et qui nous empêchent d’évoluer. Parfois, même si nous les avons nommé, même s’ils nous font souffrir, nous avons du mal à nous en séparer car ils nous apportent des bénéfices secondaires qui se présentent bien souvent sous forme de systèmes de protection. Or tout le travail personnel consiste à le les mettre à jour pour grandir en conscience.

Lorsque le travail de recherches, de liens et de conscience a été fait, il s’agit pour retourner les vieilles habitudes de faire descendre l’information dans le corps pour retrouver « l’éprouvé », les sensations, les émotions du moment.

Pour ce faire plusieurs outils ont été développés dont la descente dans le corps, étape ultime où l’information trouvée dans la chair peut être désactivée pour faire place à une nouvelle donne. La descente dans le corps permet une fois que la personne a observé son mécanisme à l’œuvre, de l’accepter comme une part de lui même, de le désactiver pour le transformer. Pour accompagner cette transformation dans la matière, l’accompagnant propose un double mouvement qui partant de l’initial va vers son contraire. Cela passe par une rééducation du corps afin qu’il puisse intégrer dans son quotidien cette nouvelle information.Quand le verbe se fait chair, que la parole rencontre la matière alors tout prend sens et pour le corps et pour l’esprit et il nous est possible de nous retourner.

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